Ayant 50 ans et amateur du motocross, pendant des années nous en avons vu des choses. On nous laisse entrevoir quelque chose d’un circuit motocross quelque part en Europe, et nous nous souvenons parfaitement de la location. On se souvient des exploits de pilotes, des héros, tu sais même dire l’année de fabrication de presque tout sur les deux roues de motocross. Pendant toutes ces années tu visite des endroits et parfois il y a quelque chose de spéciale. Et voilà cette fois c’est le sympatique Ivan Van De Broeck qui nous a amenés dans un endroit bien caché pour y admirer des Maico’s. Et immédiatement on formule des questions, ce n’est pas un musée, c’est une collection privé. Nous avons eu l’opportunité de prendre des photo’s et surtout d’ écouter les fameuses histoires du propriétaire, mais pour le reste nous n’avons pas eu l’occasion de toucher à cette magnifique collection.
Pendant la finale BOTC, l’année passée à Wambeek, Ivan m’a raconté qu’il avait encore quelque chose pour s’occuper pendant les moments calme du motocross. Et j’avais bien mémorisé ceci. Malgré le fait que je n’ai jamais roulé une Maico, chaque fois que je vois de magnifique Maico’s, cela me fait rêver. La machine d’Allemand est une légende dans le monde du motocross, grâce à la force métrisable de ses grosses Maico’s. Au moment ou les Maico on lancé une machine métrisable avec un cylindré beaucoup plus haut que 400cc, les ingénieurs Japonais se sont accrochés collectivement au infus d’antidépressive. Nous pouvons facilement dire que cette marque Allemand a mérité ça place dans l’histoire et c’est très dommage que l’usine d’origine ce soit arrêté. Plus tard on reviendra sur l’histoire de cette marque, maintenant on va dans les caves pleines de jouets.
La port s’ouvre, est directement il y a deux rangées avec des Maico’s brillantes. Au plafond, il y a le poteaux signalant le chemin vers Hawkstone Park. Nous ne sommes pas si loin de la maison, mais le propriétaire a la même passion que moi-même : collectionner les poteaux après les GP. Immédiatement on sent son âme. en route vers l’atelier, je suis interrogé sur ma connaissance de l’histoire du motocross. Au mûr il y a une photos avec deux ex- Champions du Monde à droite, avec ses cheveux blond, Graham “Rolls” Noyce mais celui de gauche était plus difficile. Après un hint (j’avais de l’aide) nous sommes arrivés chez Neil Hudson, Champion du Monde 250cc en 1981. Ce sont deux pilotes Maico, mais ils sont devenus Champion du Monde sur des machines Japonaises. Et donc voici le point névralgique de Maico : au moment cruciale, la marque n’avait pas le pilote au top pour se garantir un titre Mondial. Si cela avait été le cas, probablement l’avenir aurait été différent.
Entre-temps les gens se parlent et nous admirons une 125cc restauré sur la table. à coté d’un petit autocollant sur le garde-boue arrière, cette machine de 1972 est complètement prête. Fièrement le propriétaire nous annonce que de cette machine il n’y en a que 389 exemplaires construites. Tout finalisé en détail, en tenant compte des milliers de page d’histoire en possession du propriétaire. Derrière nous, nous voyons des étagères pleine d’ échappements, cylindres, pistons, roues, cadres, réservoirs, pignons, carburateurs, bloque moteurs et encore beaucoup plus. Plaisir garanti les années suivantes pour le propriétaire. Malgré le fait que les Maico’s n’étaient pas toujours fiables, l’amour pour cette marque reste. Le propriétaire était en faveur de cette “underdog” contre les marques Japonais. Les Maico’s étaient jolies à regarder, elles étaient bien proportionner. Entre-temps nous avançons entre deux longues rangées avec de Maico’s restaurées avec son histoire. C’est fabuleux pour moi.
Mon œil tombe sur une machine avec un panneaux vert (donc 250cc) avec signature sur la plaque avant. C’était donc la machine d’usine de Neil Hudson. Tout d’un coup, je suis pris par les épaules et je dois me rendre de l’autre côté de la cave et j’entends le mots “regarder bien à ceci”. Je suis face avec une curiosité mais je n’en sais rien. Une 100cc Twin fabrication maison avec monoshock, chaque pièce venant de Maico. Wow, ça à l’air d’être pure. On manque de temps, mais j’aurais bien voulu entendre cette machine en route. Un peu plus tard, notre attention est dirigé sur une 250cc, machine d’usine de 1977. Suivant le propriétaire, beaucoup de Magnésium dans le bloc, c’est une des douze machines construites, et c’est la seule complètement en état. Il y a des années que cette machine est exposé et un travailleur d’époque Maico a presque du être réanimé quand il était à côté de sa propre création.
Un peu plus loin, un gilet avec le drapeau Suédois. “C’est le gilet original de Arne Kring” nous dit le collectionneur. J’avais oublié qu’un fabricant de jeans a été sponsor de motocross. Arne Kring n’avait rien a voir avec Maico, mais était sur Husqvarna en 1970 jusqu’il ait eu un accident dont le dos fût atteint dans un cross hors du championnat et voilà que son titre s’envole pour son compatriote Bengt Aberg. En dehors de la flotte des Maico’s, il y a plusieurs objets qui font battre nos coeurs. Ce sont les vêtements des grands Champions comme Smets, Desalle et beaucoup d’autres.
C’est claire que pour restaurer des ancêtres de motocross, il faut rester inventif. Naturellement, tu peux utiliser ton inventivité pour donner une autre destination à tes pièces Maico. sur la photo, le réservoir est remplis d’alcool et le pignon avec tambour sert comme support des verres a Champagne. Il ne faut pas restaurer les ancêtres avec un gorge sèche.
En route pour la maison, je me sens comme quelqu’un revenant de son premier rendez-vous amoureux. Mon admiration pour les Maico est encore plus grande. si j’étais 35 ans plus jeunes et savoir tout ce que je sais maintenant……